mardi 12 novembre 2013

Philippe Geluck : « La Bible selon le Chat », Casterman




S’attaquer à rien moins que la création de l’univers, c’était une gageure. Traiter le sujet en deux volumes était justifié.
Certes, on retrouve l’impertinence, le sens de l’absurde et du paradoxe qui nous ont tant séduit chez ce chat mégalo et son papa belge : cette genèse revisitée par l’humour est roborative, et cette apparition de l’homme comme un déni de grossesse de la Grande Faucheuse originale.
Mais je n’ai pas senti la force des brèves (de comptoir ?) du Chat, le côté très percutant de la petite série de vignettes, j’ai même trouvé ce double album un peu long… Inégal en tout cas.
 Signé Fanch

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