S’attaquer à rien moins que la création de l’univers,
c’était une gageure. Traiter le sujet en deux volumes était justifié.
Certes, on retrouve l’impertinence, le sens de l’absurde et
du paradoxe qui nous ont tant séduit chez ce chat mégalo et son papa
belge : cette genèse revisitée par l’humour est roborative, et cette
apparition de l’homme comme un déni de grossesse de la Grande Faucheuse
originale.
Mais je n’ai pas senti la force des brèves (de
comptoir ?) du Chat, le côté très percutant de la petite série de
vignettes, j’ai même trouvé ce double album un peu long… Inégal en tout cas.
Signé Fanch
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