lundi 8 décembre 2014

Donatien Mary : « Que la bête fleurisse », Cornélius




Le thème très classique des baleiniers, avec les semaines et les mois au large sans prise où l’ennui ronge les hommes, puis l’abondance des cétacés et les prouesses d’un mystérieux harponneur graveur de dents de cachalot, Stubb au visage totalement fermé.. Les présages sinistres se multiplient et la tension monte à bord… La technique de la gravure utilisée par l’auteur ne parvient pas à faire oublier l’irréalisme des représentations du navire (dont les cales immenses ressemblent aux caves d’un château) aussi bien que des gestes de travail.
N’est pas Chabouté qui veut…
 Fanch

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